Ratus sourit aux paroles du jeune nomade.
"Oui, fils, c'est bien moi qui t'ai offert le cimeterre en signe de bienvenue. C'est une coutume de notre peuple que de faire ça."
Puis il écouta le reste des idées et après avoir gratté sa barbe parla lentement :
"Vois tu, les traces dans le sable s'estompent, mais un bon nomade ne eprd jamais sa piste. Va donc voir nos alliés, tu seras ma voix auprès d'eux. Apporte leur le souvenir de notre Peuple, qui est désormais oublié, mais toujours glorieux."